Belleville a très tôt regroupé cabarets et auberges où l'on déguste le guinget, vin de médiocre qualité mais très bon marché. Il ne reste rien de cette époque de plaisirs populaires sinon les noms de rue, comme les rues Ramponeau et Dénoyez, du nom de propriétaires de cabarets fameux. Et tout le monde il est beau et elles sont toutes belles, belles, belles comme la ville... Les rues de Paris, et comme les filles aussi. La disparition du guinget ne veut pas dire la disparition du vin gai.