Une petite agglomération s'est formée peu à peu autour de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, consacrée vers 558 par l'évêque de Paris, Germain (pas ton cousin), sur l’emplacement d’un ancien temple dédié à Isis à l’extérieur de la ville. Devenu un haut lieu de la vie intellectuelle et culturelle parisienne après la Seconde Guerre mondiale, le quartier a perdu de son aura. Mais comme dirait Boris Vian : « On se rappelle beaucoup mieux les bons moments : alors, à quoi servent les mauvais ? »